Archives pour la catégorie Travaux des membres

Apprenti(e) chargé(e) de projets numériques – Service de la Transformation Numérique et Logistique (STNL)

La Haute Autorité de santé (France) cherche :

Apprenti(e) chargé(e) de projets numériques –
Service de la Transformation Numérique et Logistique (STNL)

Sous la responsabilité de l’adjointe à la chefferie de service, vous serez rattaché(e) à un chef de projet avec qui vous collaborerez et aurez deux objectifs principaux :

  • Piloter et concevoir les formations e-learning de prises en main des outils.
  • Accompagner le chef de projet SI sur de l’Assistance à Maîtrise d’Ouvrage (AMOA)

Formation exigée

  • Vous êtes actuellement en formation dans le secteur numérique & IT, niveau master 1 ou 2 ou école d’ingénieur avec spécialisation en conduite de projets numériques et innovation.
  • Vous avez dans votre formation un volet sciences humaines.

Compétences

  • Vous avez des bonnes capacités rédactionnelles.
  • Vous maîtrisez le pack Office 365 et connaissez l’outil de collaboration Teams.
  • Vous avez une ou plusieurs expériences concrètes de mise en œuvre de projets SI ou autres.
  • Capacité à s’approprier une stratégie IT
  • Capacité à traduire, à synthétiser et à mettre en avant les informations.

https://www.has-sante.fr/jcms/p_3339850/fr/apprenti-e-charge-e-de-projets-numeriques-service-de-la-transformation-numerique-et-logistique-stnl

Lancement du livre « Les relations publiques »

Andrea Catellani, membre actifi du RESIPROC, Caroline Sauvajol-Rialland et François Allard-Huver lancent aujourd’hui le livre Les relations publiques, chez Dunod

Les relations publiques (ou publics) sont au cœur de la communication des organisations. À l’heure du 2.0, la relation est centrale. Les entreprises dialoguent avec des acteurs de plus en plus diversifiés, exigeants et imprévisibles : 
clients, partenaires, investisseurs, institutions, salariés, société civile…
Cet ouvrage présente les essentiels de l’expertise de la relation. De façon synthétique et claire, il traite :

  • les définitions, l’histoire et les notions fondamentales des RP ;
  • l’éthique et les approches scientifiques des RP ;
  • les outils et modalités d’évaluation ;
  • les évolutions des RP à l’ère numérique.

Que vous soyez étudiant ou professionnel dans le domaine des RP, cet ouvrage sera pour vous un outil pédagogique de référence.

AAA – Nouveaux ancrages de la veille en sciences de l’information et de la communication

Voici un appel à articles qui pourra intéresser la communauté du RESIPROC.

Pour son numéro 60, la revue Études de communication lance un appel à articles sur le thème « Nouveaux ancrages de la veille en sciences de l’information et de la communication ». La date de clôture de l’appel est repoussé au 11 mars.

Ce dossier, coordonné par Audrey Knauf, Stéphane Goria et Stéphane Chaudiron, vise à réinterroger la veille, dans ses multiples formes, pratiques, processus, stratégies au regard des sciences de l’information et de la communication (SIC). Il s’intéresse ainsi aux méthodologies, théories et épistémologies mobilisées par les SIC pour étudier les usages, les pratiques, les méthodes, les dispositifs propres à la veille.

Le texte complet de l’appel ainsi que les consignes aux auteurs sont accessibles sur le site de la revue : https://journals.openedition.org/edc/12239

AAC : 100 ans de dialogue science et société : état des lieux et prospectives en culture et communication scientifiques et technologiques

Appel à communications dans le cadre de l’Acfas 2022

Date limite de dépôt des propositions de communication : 10 février 2022 à 17 h (HNE).

Marie-Eve Carignan, membre du RESIPROC, et d’autres collègues (Pierre Chastenay, UQAM, Audrey Groleau, UQTR, Patrice Potvin, UQAM, Gwenola Maguelonne, Acfas) lancent un appel à communications.

Ce colloque permettra de dresser l’état des lieux de la communication et de la culture scientifiques et technologiques des Québécoises et des Québécois, mais ouvrira également sur diverses perspectives dont nous poursuivrons le développement jusqu’au colloque de 2023. Ainsi, le colloque 2022 sera l’occasion de lancer des chantiers de recherche et de réflexion pratiques et concrets dont l’aboutissement fera l’objet de communications en 2023, toujours dans un souci de collaboration et d’interdisciplinarité entre les divers acteurs que ces questions intéressent.

Séminaire Dynamique(s) de professionnalisation et empowerment

25 janvier 9h30-12h30 (heure de Paris)

Séminaire du laboratoire GERiiCO

Animation : Paola Sedda

Langue : anglais 

Au programme

  • Lara Maestripieri (Professor in Economic Sociology at the Polytechnic University of Milan), « Professions Within, Between and Beyond: an analytical frame to study professionals and professional organizations ».

Cases from Italy : 

Les interventions, d’une durée de 20 minutes, seront suivies par un débat avec l’ensemble des participants. 

Enquête RESIPROC-LeRASS sur les enjeux de genre et de l’égalité professionnelle en communication

Le RESIPROC et le LERASS initient une recherche pour faire un état des lieux sur les enjeux de genre et de l’égalité professionnelle en communication dans tous types d’organisations.

Toute personne travaillant dans l’un des nombreux métiers de la communication est invitée à répondre.

Vous être un.e professionnel.le de la communication ? Répondez à ce court questionnaire sur les pratiques en communication liées au genre et à l’égalité professionnelle – c’est ici : https://enquetes.univ-tlse2.fr/index.php/595995?lang=fr

Le questionnaire (durée 10 minutes environ) sera ouvert pendant un mois. Merci de votre participation.  Cette recherche menée en Belgique, en France et au Québec comporte un volet quantitatif et un volet qualitatif. 

N’hésitez pas à diffuser largement cette enquête auprès de vos collègues en communication et dans vos réseaux.

Le Resiproc (Réseau international de recherche sur la professionnalisation des communicateurs/trices) réunit des universitaires et des professionnel.les qui s’intéressent aux évolutions des pratiques, des compétences et des métiers de la communication. Le LERASS (Laboratoire d’Études et de Recherches Appliquées en Sciences Sociales) est un laboratoire pluridisciplinaire réunissant les chercheur.es en sciences de l’information et de la communication des universités de Toulouse et Montpellier.

Nous nous excusons d’avance pour les éventuels doublons de ce message.

 Valérie Lépine, professeures en sciences de l’information et de la communication au LERASS en partenariat avec le REC – Études sociologiques

AAC : La communication des organisations en contexte de numérisation généralisée au prisme des disciplines et des épistémologies

Laurent MORILLON, Benoit CORDELIER, deux contributeurs actifs du RESIPROC et leur collègue Ouidade SABRI, lancent un appel à articles

20 décembre 2021 20 janvier 2022 : limite de réception des résumés

« Le présent appel à articles pour la revue Communication & Management, invite à questionner les recherches sur la communication des organisations en contexte de numérisation généralisée au prisme des disciplines et des épistémologies. L’étude critique des processus généraux de constitution des connaissances valables de la science – qu’il s’agisse des postulats, logiques, fondements, méthodes… – permet en effet de déterminer les origines et portées scientifiques et philosophiques des travaux et donc leur valeur (Piaget, 1967). Organisation et communication sont questionnées avec des courants théoriques nombreux et diversifiés qui reposent sur des hypothèses différentes quant à la nature de la société et de la science (Rojot, 2003). En France, en sciences de gestion, la recherche a historiquement eu pour ambition d’expliquer et si possible de prescrire des processus organisationnels afin de guider les actions des dirigeants notamment dans les entreprises. De fait, le fonctionnalisme a d’abord été retenu pour qualifier leurs approches (école classique des organisations, école des ressources humaines…). Mais dans les années 1980, Trujillo et Toth (1987) recensent également la mobilisation de paradigmes interprétatifs et critiques. L’enjeu n’est plus alors forcément l’opérationnalisation pratique et la résolution de problèmes organisationnels mais la proposition de modèles d’explication. L’interprétativisme, emblématique dans les travaux de Weick (1969), fortement mobilisés en gestion comme en communication, est revendiqué dès la conférence d’Alta en 1981 dans l’ouvrage de Putnam, Pacanowsky (1983) qui s’en inspire et aboutit à des développements interdisciplinaires centrés sur l’organisation (Putnam et Nicotera, 2009). En sciences de l’information et de la communication, si les recherches ont d’abord hérité d’un certain nombre de théories positivistes (théorie de l’information, cybernétique…), elles ont exploré dès les années 1990 d’autres épistémologies et ce dans une posture critique en rupture avec les études descriptives ou prescriptives des pratiques professionnelles (Bernard, 2006). C’est ainsi par exemple que l’organisation est appréhendée comme une entité symbolique avec la systémique qualitative inspirée des travaux de l’école de Palo Alto (Mucchielli, 1999) ou que la communication est considérée comme organisationnelle dans une perspective constructiviste avec la théorie conversation-texte (Cooren, Taylor, Van Every, 2006). Plus récemment, Bouillon, Bourdin et Loneux (2008) proposent de caractériser une approche communicationnelle des organisations. »

[Appel à articles] L’intervention en organisation : quels enjeux pour la communication organisationnelle ?

Deux membres du RESIPROC, Patrice DE LA BROISE (Université de Lille, GERiiCO) et François LAMBOTTE (UCL-Mons, LASCO) lancent cet appel à articles pour la revue Communication et organisation.

« L’objectif de ce numéro de Communication & Organisation est d’ouvrir le débat sur les modes d’intervention en communication organisationnelle et ce qu’ils produisent comme effets sur la production du savoir scientifique, sur la posture du chercheur, sur la manière dont les sciences de l’information et de la communication peuvent prétendre « intervenir » dans les organisations sans se départir de la perspective critique comme condition d’accomplissement de la recherche en communication organisationnelle. »

Lancement de LA COMMUNICATION DE CRISE À L’ÈRE DU NUMÉRIQUE. Stratégies, processus et pratiques

Ivan Ivanov, professeur agrégé au Département de communication de l’Université d’Ottawa et membre du RESIPROC lance un nouvel ouvrage sur la communication de crise à l’ère du numérique.

« Cet ouvrage est le fruit de travaux de recherche menés depuis plus de 10 ans dans le domaine des relations publiques et de la communication organisationnelle. Il présente les grands concepts qui irriguent le champ de la communication de crise à l’ère du numérique et illustre les meilleures stratégies et pratiques développées et appliquées tant en Amérique du Nord et en Europe que dans le reste du monde. Il a pour ambition d’offrir aux étudiants, aux professionnels de la communication et à la communauté scientifique un état des connaissances théoriques et pratiques dans un contexte marqué par l’émergence de crises locales et planétaires atypiques et durables. Deux entrevues issues d’un projet de recherche (programme Savoir du Conseil de recherches en sciences humaines [CRSH]) sur l’évolution des pratiques de communication numérique – avec Santé publique Ottawa et le gouvernement ouvert du Canada – ainsi que le récit de l’expérience de la directrice de la communication de crise de la Gendarmerie royale du Canada y sont également présentés.

L’usage des plateformes numériques et des médias sociaux à des fins de communication de crise occupe une place centrale dans cet ouvrage et en constitue le fil rouge grâce à l’analyse d’exemples tirés de l’actualité. Les théories et les concepts abordés sont systématiquement appliqués et illustrés à travers des études de cas. »

Le RESIPROC signe une déclaration internationale pour engager la communication dans un monde plus sain, viable, meilleur.

Le Réseau international sur la professionnalisation des communicateurs emboite le pas d’autres grandes associations et organismes internationaux dans la signature de la Déclaration internationale des membres de la communauté professionnelle et scientifique en communication pour un monde plus sain, viable, meilleur.

« Avec ses ravages sanitaires, sociaux, économiques, financiers, la pandémie du coronavirus qui frappe toutes les régions de la Terre depuis le début de l’année 2020 dépeint la plus grave crise que notre monde ait connu depuis le siècle dernier et plus particulièrement depuis la Seconde Guerre mondiale. Et la communication y est directement interpellée. […] Une déclaration internationale d’engagement aux valeurs humanistes est en route pour mobiliser cette solidarité et la partager à grande échelle.  La Déclaration internationale des membres de la communauté professionnelle et scientifique en communication pour un monde plus sain, viable, meilleur est un appel à cette solidarité engageante à travers le monde. En endossant la Déclaration, les spécialistes et scientifiques de cette communauté s’engagent publiquement à mettre leurs expertises communicationnelles à contribution dans l’accompagnement de nos sociétés dans cette transition nécessaire vers un monde plus sain, viable, meilleur ».

En signant cette déclaration, le RESIPROC poursuit sa volonté de contribuer à des communications et des professionnels des communications qui oeuvrent pour le bien commun.

Depuis plus de 10 ans déjà, le RESIPROC développe des réflexions et des applications concrètes dans le but d’ouvrir des espaces de dialogue et d’actions pour accompagner « nos sociétés dans cette transition nécessaire vers un monde plus sain, viable, meilleur ». Par ses colloques et publications réunissant de membres des communautés professionnelles et scientifiques, le RESIPROC a contribué à :

  • soulever les enjeux de formation des communicateurs et communicatrices;
  • soulever les défis éthiques de la professionnalisation en communication;
  • relever les changements importants dans le domaine de l’information et du journalisme et leurs influences sur la démocratie;
  • proposer des moyens d’allier recherche scientifique et pratiques professionnelles.