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Apprenti(e) chargé(e) de projets numériques – Service de la Transformation Numérique et Logistique (STNL)

La Haute Autorité de santé (France) cherche :

Apprenti(e) chargé(e) de projets numériques –
Service de la Transformation Numérique et Logistique (STNL)

Sous la responsabilité de l’adjointe à la chefferie de service, vous serez rattaché(e) à un chef de projet avec qui vous collaborerez et aurez deux objectifs principaux :

  • Piloter et concevoir les formations e-learning de prises en main des outils.
  • Accompagner le chef de projet SI sur de l’Assistance à Maîtrise d’Ouvrage (AMOA)

Formation exigée

  • Vous êtes actuellement en formation dans le secteur numérique & IT, niveau master 1 ou 2 ou école d’ingénieur avec spécialisation en conduite de projets numériques et innovation.
  • Vous avez dans votre formation un volet sciences humaines.

Compétences

  • Vous avez des bonnes capacités rédactionnelles.
  • Vous maîtrisez le pack Office 365 et connaissez l’outil de collaboration Teams.
  • Vous avez une ou plusieurs expériences concrètes de mise en œuvre de projets SI ou autres.
  • Capacité à s’approprier une stratégie IT
  • Capacité à traduire, à synthétiser et à mettre en avant les informations.

https://www.has-sante.fr/jcms/p_3339850/fr/apprenti-e-charge-e-de-projets-numeriques-service-de-la-transformation-numerique-et-logistique-stnl

AAC : La communication des organisations en contexte de numérisation généralisée au prisme des disciplines et des épistémologies

Laurent MORILLON, Benoit CORDELIER, deux contributeurs actifs du RESIPROC et leur collègue Ouidade SABRI, lancent un appel à articles

20 décembre 2021 20 janvier 2022 : limite de réception des résumés

« Le présent appel à articles pour la revue Communication & Management, invite à questionner les recherches sur la communication des organisations en contexte de numérisation généralisée au prisme des disciplines et des épistémologies. L’étude critique des processus généraux de constitution des connaissances valables de la science – qu’il s’agisse des postulats, logiques, fondements, méthodes… – permet en effet de déterminer les origines et portées scientifiques et philosophiques des travaux et donc leur valeur (Piaget, 1967). Organisation et communication sont questionnées avec des courants théoriques nombreux et diversifiés qui reposent sur des hypothèses différentes quant à la nature de la société et de la science (Rojot, 2003). En France, en sciences de gestion, la recherche a historiquement eu pour ambition d’expliquer et si possible de prescrire des processus organisationnels afin de guider les actions des dirigeants notamment dans les entreprises. De fait, le fonctionnalisme a d’abord été retenu pour qualifier leurs approches (école classique des organisations, école des ressources humaines…). Mais dans les années 1980, Trujillo et Toth (1987) recensent également la mobilisation de paradigmes interprétatifs et critiques. L’enjeu n’est plus alors forcément l’opérationnalisation pratique et la résolution de problèmes organisationnels mais la proposition de modèles d’explication. L’interprétativisme, emblématique dans les travaux de Weick (1969), fortement mobilisés en gestion comme en communication, est revendiqué dès la conférence d’Alta en 1981 dans l’ouvrage de Putnam, Pacanowsky (1983) qui s’en inspire et aboutit à des développements interdisciplinaires centrés sur l’organisation (Putnam et Nicotera, 2009). En sciences de l’information et de la communication, si les recherches ont d’abord hérité d’un certain nombre de théories positivistes (théorie de l’information, cybernétique…), elles ont exploré dès les années 1990 d’autres épistémologies et ce dans une posture critique en rupture avec les études descriptives ou prescriptives des pratiques professionnelles (Bernard, 2006). C’est ainsi par exemple que l’organisation est appréhendée comme une entité symbolique avec la systémique qualitative inspirée des travaux de l’école de Palo Alto (Mucchielli, 1999) ou que la communication est considérée comme organisationnelle dans une perspective constructiviste avec la théorie conversation-texte (Cooren, Taylor, Van Every, 2006). Plus récemment, Bouillon, Bourdin et Loneux (2008) proposent de caractériser une approche communicationnelle des organisations. »

Lancement de LA COMMUNICATION DE CRISE À L’ÈRE DU NUMÉRIQUE. Stratégies, processus et pratiques

Ivan Ivanov, professeur agrégé au Département de communication de l’Université d’Ottawa et membre du RESIPROC lance un nouvel ouvrage sur la communication de crise à l’ère du numérique.

« Cet ouvrage est le fruit de travaux de recherche menés depuis plus de 10 ans dans le domaine des relations publiques et de la communication organisationnelle. Il présente les grands concepts qui irriguent le champ de la communication de crise à l’ère du numérique et illustre les meilleures stratégies et pratiques développées et appliquées tant en Amérique du Nord et en Europe que dans le reste du monde. Il a pour ambition d’offrir aux étudiants, aux professionnels de la communication et à la communauté scientifique un état des connaissances théoriques et pratiques dans un contexte marqué par l’émergence de crises locales et planétaires atypiques et durables. Deux entrevues issues d’un projet de recherche (programme Savoir du Conseil de recherches en sciences humaines [CRSH]) sur l’évolution des pratiques de communication numérique – avec Santé publique Ottawa et le gouvernement ouvert du Canada – ainsi que le récit de l’expérience de la directrice de la communication de crise de la Gendarmerie royale du Canada y sont également présentés.

L’usage des plateformes numériques et des médias sociaux à des fins de communication de crise occupe une place centrale dans cet ouvrage et en constitue le fil rouge grâce à l’analyse d’exemples tirés de l’actualité. Les théories et les concepts abordés sont systématiquement appliqués et illustrés à travers des études de cas. »

AAA – La professionnalisation des pratiques autour des commentaires numériques

Appel à articles

Revue Communication & Professionnalisation no 11

La professionnalisation des pratiques autour des commentaires numériques

 Intention à soumettre avant le 15 septembre 2019 25 octobre 2019
Version complète : le 15 janvier 2020 24 février 2020
Coordination : Laurence Leveneur – Université Toulouse 1 Capitole, France; Daniel Pélissier – Université Toulouse 1 Capitole, France

Commenter une information, un produit, un programme, est aujourd’hui une activité qui s’est largement intensifiée sur internet et la gestion des commentaires est devenue une préoccupation majeure pour nombre d’organisations, publiques ou privées, et ce, quel que soit le secteur économique concerné. Leur diffusion parfois rapide peut avoir des conséquences importantes sur la réputation de ces organisations (Charest et al., 2017 ; Alcantara, 2015), qu’elles soient commerciales, publiques ou médiatiques (Leveneur, 2013 ; Mercier, Pignard-Cheynel, 2017). Le commentaire client, enfin, au-delà de ce qu’il peut enseigner sur un profil consommateur, s’inscrit dans une forme d’économie spécifique (Dorsaf, 2013) et une société du jugement (D’Almeida, 2007) qui fondent les enjeux sociaux de cette tendance et méritent d’être questionnées.

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Le communicateur bousculé par le numérique. Quelles compétences à transmettre ? | 2016 | No 3

29303100328080lDirection de numéro : Alexandre Coutant, Jean-Claude Domenget

Cette troisième livraison des Cahiers du RESIPROC invite à renouveler l’approche des métiers du communicateur face à l’essor conjoint du numérique et d’Internet. Elle vise à répondre à un ensemble de questions en apparence simples : un communicateur numérique est-il différent d’un communicateur classique ? Les formations en communication doivent-elles être repensées ? De nouvelles compétences viennent-elles s’ajouter ou se substituer à celles traditionnellement attendues d’un communicateur ? Est-il plus pertinent de qualifier ces métiers par le support qu’ils emploient ou la finalité de communication demeure-t-elle primordiale ? Dans un premier temps, les textes rassemblés analysent comment le communicateur se trouve bousculé par le numérique et dans un second soulèvent la question des compétences à transmettre.

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