Un article de l’un des collaborateurs du RESIPROC, Jean-Marie Charpentier.
Le blog de Jean-Marie Charpentier
Sauf à considérer qu’il ne s’agit que d’outil et de transmission, toute la discussion actuelle sur le digital et son déploiement dans la société et l’entreprise nous ramène à la dimension sociale de la communication, c’est-à-dire au rapport à l’autre. Or, c’est cette dimension qui a été galvaudée et niée avec la com’ qui n’a quasiment eu comme seule finalité que de porter l’image de soi dans un singulier jeu de miroir, reproduisant le même, plutôt que d’affronter l’altérité. La fonction com’, ne l’oublions pas, est née en entreprise dans les années 80 dans les bagages des relations publiques et de la publicité avec une mission d’image bien précise : valoriser l’entreprise à travers de multiples actions, opérations ou supports tant internes qu’externes. Cette dimension a perduré dans les années 90 avec la communication « corporate », certes plus globale, plus sophistiquée, mais toujours fondée sur le paradigme de l’image, de l’image valorisante…
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